Au sujet des six EPR, rien n’est fait et à l’exception des coupures de journaux, nous n’avons aucune confirmation officielle.
Parlons surtout du procès fait au pseudo lobby nucléaire. Je vous donne une série de défense quant au lobbyistes verts.
Au ministère de l’Environnement, il y a l’ADEME truffée d’anti-nucléaires notoires où Négawatt à son rond de serviette.
Son directeur est Arnaud Leroy : âgé de 41 ans et diplômé en droit maritime et protection de l’environnement, commence sa carrière politique au Parlement européen où il a été Secrétaire général de la délégation des Verts français. A partir de 2004, il rejoint l’Agence européenne de sécurité maritime afin de participer à sa mise en place et s’occupe particulièrement de la division Environnement et Changement climatique.âgé de 41 ans et diplômé en droit maritime et protection de l’environnement, commence sa carrière politique au Parlement européen où il a été Secrétaire général de la délégation des Verts français. A partir de 2004, il rejoint l’Agence européenne de sécurité maritime afin de participer à sa mise en place et s’occupe particulièrement de la division Environnement et Changement climatique.
A la DGEC, la directrice de l’énergie, Madame Virginie Schwartz est une anti-nucléaire venant de l’ADEME.
WISE, Greenpeace, WWF avec Canfin, FNE sont toujours dans les couloirs du Ministère.
Bové y est très bien reçu. Sans parler de Jean-Louis Bal, Président du SER qui est reçu directement par le Ministre.
Pire, un organisme comme l’OFATE, office franco-allemand pour coordonner la transition énergétique et influencer la politique française est basé au Ministère de l’Environnement. C’est là que s’élabore une politique parfaitement stupide au sujet du nucléaire français : « faisons arrêter des centrales françaises, les prix de l’électricité remonteront rendant rentables les EnR allemandes ce qui permettra de fermer du charbon-lignite ! »
A côté de cette affaire, il y a la CNDP présidée par CHANTAL JOUANNO.
Elle préside l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (2008-2009). Elle intègre ensuite le gouvernement Fillon III, successivement comme secrétaire d’État chargée de l’Écologie le janvier 2009, puis ministre des Sports le novembre 2010, jusqu’à sa démission, au lendemain de son élection, le 25 septembre 2011, comme sénatrice UMP de Paris.
Elle est présidente de la Commission nationale du débat public depuis mars 2018.
Au passage, elle a été recrutée à EDF en 1994 !
Puis Archimbault, Président de la CPDP PPE. Vert de vert de vert.
Né en 1952, à Mâcon (Saône et Loire) Jacques Archimbaud a enseigné les Lettres puis l’Histoire dans différents lycées en Seine Saint Denis pendant plus de 22 ans.
Fondateur et dirigeant de différents réseaux de l’économie alternative et solidaire, participant des premières initiatives de développement local, il a occupé les postes de conseiller technique puis de conseiller auprès de Dominique Voynet, Ministre de l’Aménagement du territoire, de l’environnement et de chargé de mission dans celui d’Yves Cochet dans le même Ministère. (1998/2002).
Dans ce cadre, il s’est occupé notamment de la mise en place des emplois jeunes environnement, du développement local et des agendas 21, de la conception et de la discussion de la LOADDT, de la négociation des contrats de plans. Collaborateur parlementaire de Dominique Voynet, Sénatrice (2005/2006) il contribua ensuite au renouveau de l’Observatoire Régional des Déchets d’Île de France (ORDIF) (2007/2008). Directeur du cabinet de la Maire de Montreuil (2008/2011).
Il devint début 2012 directeur de cabinet par intérim de Cécile Duflot à la Région Île-de-France puis Directeur adjoint de son cabinet au ministère de l’Égalité des territoires et du logement.
Il conclut la CPDP au CESE en déclarant qu’une large majorité de ceux qui se sont exprimés demandent un calendrier précis d’arrêt des centrales nucléaires. J’avais plutôt retiré l’impression contraire.